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Depuis mes 5 ans, les chats... | ©ChupaBlog, chat qui parle


Les chats et moi...

Note de Chupa: 

Eh bien  j'en fait des découvertes aux archives! Oui mes chers amis patounauttes, j'ai failli passer à côté de ce témoignage et vous aussi! Nos humains chéris n'ont pas fini de nous surprendre... Ah bientôt avec une prochaine archive, l'en reste encore!!! 
Hop! Dans mes dossiers



...c’est une histoire qui commence l’année de mes 5 ans: nous sommes en 1968, chaque week-end, je vais à la campagne avec mes parents. Je m’y régale de promener mes poupées dans leur landau bleu marine. Un jour, je me prépare à faire ma promenade dominicale, et que ne vois-je à ma surprise dans mon landau? 
Une magnifique créature grise ronronnante de toute son âme!        


J’apprends bien des années plus tard que le Chartreux m’aura initié à la complicité féline des week-ends entiers pendant quelques mois.  
     
Je précise que ce chat appartenait à des voisins et que mes parents s’opposaient à l’adoption ou l’achat d’un chien ou d’un chat, jusqu’en 1997, année de mes 14 ans.  


Poupouf, mon premier amour de fourrure, un chat récupéré dans la rue partage mon adolescence, puis quelques années plus tard, c’est au tour de Mia, une adorable européenne alternant sa vie entre l’appartement de sa «maîtresse» (ma voisine de palier) et le mien.
     
Curieusement, l’été 1983, elle «accepte» de mettre bas sous mon toit une portée de 5 adorables chatons.   
             
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On imagine pas, jusqu'à temps de vivre au moins une fois cette expérience, combien l'attachement aux chatons s'enracine dès leur naissance. Si, qui plus est, maman chat vous fait confiance, alors là, c'est une complicité indescriptible qui s'installe, qui s'impose pour rendre l’atmosphère encore plus intime et unique!

Aussi, comme tout a une fin, une fois sevrés, je les place un par un, chez des ami(e)s, mais pour chacun d’entre eux, c’est un déchirement à chaque cession: des larmes et des larmes…  
J’en conclue que je n’ai pas assez de recul pour envisager de recommencer cette expérience irremplaçable...
     
Mia déménage un beau jour, avec ma voisine…
   
Nouneboule, ma première écaille européenne, récupérée sous un échafaudage, lui succède puis me quitte 15 ans plus tard, des suites de diverses tumeurs. 
Une chatte très distante, assez agressive, je n'ai jamais réussi semble t-il à lui faire oublier son douloureux départ dans la vie! Et malgré son caractère particulier, j'ai toujours eu beaucoup d'amour à donner à ma Nounette!
     
Trois ans de traversée du désert sans ma Nouneboule, 3 ans de silence, je suis cassée, brisée.

Aucun chat ne m’émeut désormais, je me sens morte à l’intérieur.
J’attends désespérément un nouveau souffle, une étincelle, une flamme, mais RIEN!
     
Alors je tente, je vais pour la première fois de ma vie dans un salon animalier pour voir, et vérifier si je suis aussi indifférente que je ne le crois.
   
Nous sommes en 2002, à l’automne il me semble de mémoire, me voilà rendue à Nogent, au pavillon Baltard, entourée de chats!
    

Je déambule, mais dans mon cœur, demeure le poids de son absence et encore une fois, RIEN ne me console, enfin, je le crois…
    
Pourtant, là bas, au bout du salon, au fond à gauche, je garde un souvenir étonnant d’un chat particulièrement gracieux, présent, «charismatique»:     
je suis bouche bée, estomaquée de regarder ce silver se déplacer en ondulant de tout son être.
          
Timidement, je demande une carte de visite à la personne qui expose.       
Je salue, encore aujourd’hui, remplie d’émotion, les Bandits de Grand Chemins , et je rentre seule chez moi.  
     
Juin 2003, alors que je me promène dans le quartier de la Mouzaïa près de chez moi, secteur pavillonnaire en plein Paris, je rencontre Plasido (ci-dessous), au détour d’une ruelle.  


Plasido me fait totalement chavirer, tant par sa présence, son charme que son comportement canin.           


Je réalise qu’enfin, je «revis», je réalise enfin que je suis «prête», que Plasido n’est pas à moi mais qu’il a réanimé l’étincelle que j’attendais tant.
      
Je lui disais « Plasido, je veux un chat comme toi, je veux un amour de chat, aide moi à le trouver », je priais pour revivre une histoire à long terme avec un chat très câlin…
   
 Exaucée, un mois plus tard, je rentre chez moi le 14 juillet 2003, avec Kikiss, mon piège à câlins. Je précise qu'il y aura quand même eu de longues journées de négociations entre moi et moi compte tenu du prix d'un chat Norvégien: ex-nicotinomane depuis 2001, combien valait alors ma folie qui avait duré 24 ans? 

Oui, combien coutait ces 24 années cumulées sur le plan santé, finances et dépendance? Oh, oh, bien plus que 24 chats Norvégiens!!!
 
    
Totalement conquise par le caractère exceptionnel de Kikiss, Velvet-Tender nous rejoint début novembre 2004.  
    
Je le voudrais, mais dans leur comportement, je ne leur trouve aucun défaut, et je le répète sans arrêt, le Norvégien à un caractère «sur mesures»!  
                   
 
      (1er juillet 2004 -19 avril 2011) 
   
   
Velvet-Tender, mon trésor infini, ne m’aura pas laissé le temps de vous parler plus d’elle de  son vivant sur cette page, puisque ce 19 avril 2011, elle nous a quitté subitement 
(Annonce ici). 
       
 
Chupa, 4 ans, nous a rejoint, ce 26 novembre 2011.
Une page se tourne, même si Velvet-Tender me manque toujours...    
                   
Un phénomène cette Chupa là! 
Elle raconte son histoire ici (cliquer), oui oui, elle parle, et pas qu'un peu!
          

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